
Artiste du Venezuela : le chant des racines et des possibles
Les origines de LA CHICA sont comme des rivières qui refusent de suivre un seul cours. Ses racines, profondes et denses, plongent dans les terres sauvages du Venezuela, où les montagnes parlent aux nuages et où la terre chaude chante sous les pas. Mais ses branches s’étendent aussi vers Belleville, ce quartier de Paris où les langues s’entremêlent, où la douleur de l’exil danse au rythme des rêves qui s’élèvent.
La musique a toujours été là, dans le silence des nuits andines, dans le tumulte des rues parisiennes. Petite, elle apprenait à faire parler le piano, à l’écouter murmurer des secrets d’un autre temps. Mais ce n’était pas assez. Elle voulait des sons qui crèvent le silence, des mots qui perforent le cœur. LA CHICA chante pour les perdus, les oubliés, ceux qui vivent dans l’ombre de leurs cicatrices.
LA CHICA refuse d’être figée dans une seule image. L’automne 2025 sera une saison d’éveil : elle dévoilera quelques titres imprégnés de touches électro, une promesse d’horizons inexplorés à découvrir en exclusivité au FIMU avant de pouvoir les écouter sur son prochain album à paraître en 2026.
Quand LA CHICA chante, ce n’est pas une simple performance. C’est un rituel. Sa voix, puissante et douce à la fois, emplit l’air d’histoires qui ne demandent qu’à être racontées. Elle rappelle à son public – à chacun d’entre nous – que vivre, c’est porter en soi tout ce qui a été, tout ce qui pourrait être, et danser malgré tout.
LA CHICA est une femme qui a appris à embrasser ses origines sans jamais s’y enfermer. À travers ses mélodies et ses mots, elle nous invite, encore et encore, à faire cette traversée avec elle.